Rentrés ce lundi 1er octobre 2018, les élèves et enseignants de l’International beauty and cosmetic business school (IBCBS) de Chartres livrent leurs premières impressions devant les locaux et le matériel d’enseignement mis à leur disposition.
Impressions des élèves
« Ça fera des super photos sur Instagram ! » Bluffées, les étudiantes de l'école internationale de beauté et cosmétique ont pris leurs marques, ce lundi, dans leur campus flambant neuf. Yeux écarquillés, sourires complices et smartphone en main, les 85 élèves ont visité leurs nouveaux locaux.
« C’est beau ! » s’exclame Chloé. La jeune fille, qui entre en BTS métiers de l’esthétique, cosmétique et parfumerie, vient de mesurer le luxe dans lequel elle et ses camarades vont évoluer pendant leurs études. « Ce n’est pas une école, c’est vraiment un campus. C’est au-delà de nos espérances. »
Un confort de travail que les élèves mettent au crédit de la directrice, Régine Ferrère. « Elle a pensé à tout, constate Léa, elle aussi en BTS. Les chaises dans les classes, qui vont permettre de travailler autrement, les salles d’études pour pouvoir rester tard, les salles de pratique qui ont chacune un vestiaire… »
Toutes ces jeunes filles ont déjà évolué dans des écoles d’esthétique et apprécient d’autant plus le matériel et l’environnement de travail mis à leur disposition. « En plus, on va avoir cours avec des professionnels et pas des professeurs, qui vont nous permettre d’être mieux préparées à la réalité du monde du travail », se réjouit Faustine. « Je crois que c’est la première année que j’ai hâte d’attaquer », résume Célia.
Du côté des enseignants
Même son de cloche du côté de l’équipe enseignante. « Nous sommes ravis de travailler dans un tel environnement », confie Marcelline Auguste, professeure d’anglais. Plus que la beauté des locaux, c’est le pari d’un enseignement différent qui stimule les professeurs. « Le matériel numérique, le high-tech vont donner une nouvelle dimension à l’enseignement, croit savoir Angélique Fanrinha, enseignante en pratique et savoirs transversaux. La pédagogie inversée et le e-learning vont dynamiser les cours et permettre beaucoup d’échanges avec les élèves. »
La réaction de la directrice
Tous ces éloges ravissent la directrice et fondatrice du lieu, Régine Ferrère. « C’est une récompense pour un projet fou. Ce qui me fait le plus plaisir, c’est qu’elles aient compris que c’était un campus, pas une simple école. » La directrice ne boude d’ailleurs pas son plaisir en voyant les jeunes filles se prendre en photo devant sa collection de parfums exposés dans le cabinet de curiosités ou au milieu des salles de classe. « Ça vous dit : “je suis fière d’être là” », analyse-t-elle.
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